Gérard Grellier, habitant de Beaupréau
Il faut garder au maximum pour ce site son caractère naturel ; j’imagine qu’il doit être riche au niveau de
la biodiversité (en connaît-on la richesse ? Le CPIE pourrait-il être sollicité pour y organiser sa prochaine journée « inventaire de la biodiversité » ?)
Privilégier les voies douces pour parvenir sur place : une passerelle (piétonne et cycliste) au-dessus de l’Évre serait la bienvenue dans les proches environs. Elle rendrait service pour desservir également les établissements scolaires tout proches.
Un petit espace « mémoire » serait à installer, pour rappeler l’histoire du lieu (des moulins sur l’Évre, il y en a eu d’autres, mais avec d’autres fonctions. Y a-t-il eu d’autres scieries sur l’Évre ?).
En ces temps où l’énergie est au cœur de l’actualité, peut-on y promouvoir l’énergie hydro-électrique ? Le site peut-il être alimenté (en partie) par la force de l’Évre ? Peut-on en faire un lieu expérimental ? Ce sujet d’étude peut-il intéresser le Lycée des Métiers, tout proche ? Peut-on l’associer à d’autres énergies renouvelables ?
Des activités pédagogiques pourraient y être proposées ; cela nécessiterait une ou plusieurs salles d’animation/réunion, qui pourraient le cas échéant servir de salles d’exposition.
Le travail du bois (avec la scierie) pourrait-il y trouver un prolongement avec l’organisation d’ateliers/cours sculpture sur bois, voire d’atelier/cours de peinture (idée un peu en l’air, car peut-être qu’il existe déjà sur Beaupréau d’autres lieux beaucoup plus adaptés ?)
Faut-il prévoir bar, buvette, restauration, salle de réception pour événements conviviaux et festifs ? est-ce que ça représente un besoin sur Beaupréau ? je doute que cela soit compatible avec les arguments développés ci-dessus… ou alors, il faudra bien les doser… Et alors, si on imagine une fréquentation relativement importante, quid du problème d’accès, de voirie, de parkings… qui risqueraient de dénaturer le lieu.